So in your ethical theory, harm doesn't matter at all?
You seem to follow some kind of deontology. There's no obligation in your system to not cause unnecessary harm? I guess you have some obligation not to hurt your dog even if you like doing that. Isn't that obligation related to the fact the dog would be harmed if you did?
Maybe it's just a difference between consequentialism and deontologism, but I was convinced deontologists generally had some rules that prevent unnecessary harm. They don't?
There's at least Tom Regan who was a deontologist (at least in his book The Case for Animal Rights) and talks about harm:
In Regan's view, not to be used as a means entails the right to be treated with respect, which includes the right not to be harmed.
Ce que je disais surtout, et que j'ai déjà répété, c'est que la possibilité de donner des restes aux animaux n'est pas une raison pour élever des animaux. Si les animaux sont là, oui, tant mieux si on peut leur donner des restes. Mais on n'élève pas des animaux parce que on a des restes à leur donner. Ça serait un peu comme faire un enfant parce qu'on a une pièce qui ne sert pas dans la maison.
Non, mais probablement à cause des médicaments qu'on s'enfile et qui se retrouvent dans nos excréments. Pourtant on donne aussi des médicaments aux animaux, et pas mal de gens ont des toilettes sèches et s'en servent de compost.
Mais ce n'était qu'un des exemples dans ma réponse. La plupart des plantes qu'on mange actuellement n'ont pas poussé à l'aide de fumier, il n'y en aurait jamais assez. Donc le fumier n'est pas indispensable, on sait forcément faire autrement.