Rapport très critiqué :
- https://www.radiofrance.fr/franceinter/rapport-du-haut-conseil-a-l-egalite-ils-veulent-retirer-aux-actrices-porno-la-capacite-a-consentir-9945348
- https://blogs.mediapart.fr/florian-voeroes-et-beatrice-damian-gaillard/blog/270923/pornographie-la-derive-autoritaire-du-hce
- https://www.radiofrance.fr/franceinter/le-haut-conseil-a-l-egalite-publie-un-rapport-incendiaire-et-tres-critique-sur-la-pornographie-2886728
- https://tetu.com/2023/09/27/rapport-haut-conseil-egalite-hce-attaque-porno-sexualite-gay/
Dans la conclusion de l'article de l'Inserm ils disent :
Déjà dire « le risque n'est pas nul » n'a aucun intérêt. Évidemment qu'il n'est pas nul, comme pour quasiment tout. Ça n'a aucun intérêt de dire ça. Ça serait pertinent s'il y avait un risque significatif, soutenu par des données.
Le reste de la phrase sous entend justement qu'il y a des études qui montrent que ça a été le cas pour la kétamine, alors que ce n'est pas ce que dit la review qui est fournie en lien. L'étude dit juste que les premières utilisations de kétamine à des fins récréatives ont été faites juste après les premières utilisations thérapeutiques par le public. La situation n'a rien à voir avec les psychédéliques dont on parle, qui sont déjà très largement connus et utilisés à des fins récréatives depuis très longtemps (plus de 50 ans pour le LSD, et probablement 10.000 ans pour les champi). En tout cas l'étude ne fourni aucun élément permettant de penser qu'il y a un risque de favoriser l'usage récréatif.
Si ça venait d'un journal d'actualité ça n'aurait pas été très étonnant, mais c'est assez décevant venant de l'Inserm.