[🔒] Parentalité

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Lemmy

Une communauté pour les parents, futur parents… Des questions sur l’allaitement ? Besoin de parler après une dure journée à s’occuper d’enfant(s) ?

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« Pour me sentir libre, j’ai besoin que ce soit juste »

La domination adulte (2/3) : L'autodéfense des enfants

Une proportion significative d’enfants vit une violence, parfois grave, qui peut nuire à leur développement et accroître leur vulnérabilité à l’âge adulte. Leur statut de mineur, et la domination que les adultes exercent sur elleux, les empêchent pourtant de se défendre. L’association d’autodéfense féministe Garance, en Belgique, a donc décidé de mettre en place le programme CAP (Child Assault Prevention), créé il y a 40 ans aux États-Unis et utilisé aujourd’hui dans une vingtaine de pays. Ce programme veut donner aux enfants des outils concrets afin de faire face à d’éventuelles agressions, qu’elles soient verbales, physiques ou sexuelles. Les adultes en contact avec les enfants sont également accompagnés pour pouvoir les soutenir dans ces situations.

En ce 8 mars 2023, journée internationale de défense des droits des femmes, et jour de grève féministe, cet épisode d’Un podcast à soi donne à entendre l’un de ces ateliers, où naissent des paroles rares et des échanges forts entre adultes et enfants. Parce que les droits des enfants sont étroitement imbriqués aux droits des femmes. Parce que la domination des adultes sur les enfants fait partie intégrante du patriarcat.

Avec : Laura et Manon de l’association Garance Les enfants d’une école primaire

Lectures :

  • « J’ai le droit de dire non », OphĂ©lie Celier, Thomas Piet, Fanny Vella, Editions Petit Kiwi, 2021.
  • « La petite rouge courroux », RaphaĂ«le Frier, Victoria Dorche, Éditions Sarbacane, 2021;
  • « Le loup », Mai Lan Chapiron, Coralie Diere, Éditions La Martinière Jeunesse, 2021.

Ressources :

  • Association Garance
  • RĂ©seau francophone CAP (ClĂ©s pour l’Autonomie et la PrĂ©vention)
  • Observatoire de la violence Ă©ducative ordinaire (OVEO)
  • Commission indĂ©pendante sur l’inceste et les violences faites aux enfants
  • Collectif Enfantiste
  • Éditions Talents Hauts
  • Livres pour enfants sur la prĂ©vention des abus sexuels
  • Webinaire "Justes enfances : Quelle justice par et pour les enfants ?"
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Faut-il pucer ses enfants ?

@parentalite
video.passageenseine.fr/w/1HAEJwaTwK9HT31UxJhcFf

Les enfants sont des dangers pour eux-mĂŞmes et les autres : ils se
perdent ; ils propagent des maladies... Pour remédier au problème des enfants,
il faut les pucer et les géolocaliser !

Cette conférence démontre comment
un raisonnement juridique bien appliqué aboutit à cette conclusion inéluctable.

#Enfant #Tutelage #Parent #Tuteur #Geolocalisation #Puçage #DroitEnfant #Juridique #Liberté #Covid19 #TousAntiCovid

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L’addiction de toute une génération d’enfants aux écrans est devenue un problème de santé publique. Alertés par les parents, les élus commencent à se saisir du problème, mais font face au cynisme des industriels du secteur.

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« Darons d’ailleurs ». Deux fois par mois, l’un de nos journalistes à l’étranger explore la parentalité hors de nos frontières. Dans un pays où 82 % des enfants de 9 ans ont un portable, il n’existe aucune directive officielle concernant l’usage des écrans.

Il a longtemps été difficile d’évoquer le temps d’écran des enfants avec les parents suédois. Non qu’une discussion sur les risques d’une exposition prolongée ou les limites à imposer soit impossible. Mais elle génère souvent l’incompréhension : pourquoi donc refuser un téléphone portable à un gamin de 8 ans, quand la plupart de ses camarades de classe en ont déjà un ? Pourquoi limiter son accès à Internet alors qu’il apprend l’anglais et se fait des amis en ligne ? Ne parlons pas de restreindre l’usage d’une application qu’on aurait installée : ce serait presque de la maltraitance.

Mais des parents s’interrogent, à l’heure où les professionnels de santé commencent tout doucement à tirer le signal d’alarme. A l’automne 2023, l’Agence de santé publique à Stockholm a annoncé qu’elle ferait des recommandations d’ici à décembre 2024.

Car, pour le moment, il n’y en a aucune, si ce n’est celles de l’Association suédoise des pédiatres, publiées en novembre 2023, pour les enfants de 0 à 5 ans. Dans ce document de huit pages – dont quatre renvoient vers des études scientifiques – les médecins avancent avec prudence. Ils reconnaissent que les parents, qui passent eux-mêmes beaucoup de temps devant les écrans, peuvent éprouver une « certaine réticence » à accepter les résultats de l’étude, qui « tend à recommander que les enfants les plus jeunes n’utilisent pas du tout d’écrans numériques ». Les pédiatres conseillent donc aucun écran jusqu’à 2 ans, puis une heure quotidienne maximum, jusqu’à 5 ans.

Dans l’ensemble, les réactions ont été positives, constate Ulrika Aden, présidente de l’association, qui avoue avoir été un peu surprise : « La Suède se voit comme un pays à la pointe de la numérisation et d’Internet, où vouloir limiter les nouvelles technologies est considéré comme rétrograde. » Les enfants ont d’ailleurs accès aux écrans à l’école dès la maternelle. Mais les familles se posent aussi beaucoup de questions, assure Mme Aden : « Je pense que presque tous les parents suédois seraient d’accord pour dire que limiter le temps d’écran de leurs enfants est leur principale préoccupation. C’est probablement plus facile à faire dans d’autres cultures, où les parents peuvent être autoritaires, alors qu’en Suède, les gens font confiance aux autorités et attendent qu’elles les soutiennent en publiant des recommandations. »

Dans ce pays ultraconnecté d’early adopters (les « primo-adoptants », qui sautent sur tout ce qui est nouveau), où le secteur de la tech a produit des géants du numérique (King, Zettle, Klarna ou Spotify), les chiffres sont assez vertigineux. Selon le rapport annuel de l’Agence suédoise des médias publié en 2023, 82 % des enfants de 9 ans ont un téléphone portable, 20 % ont un ordinateur et 55 % une tablette. Parmi les 9 à 12 ans, 12 % passent plus de trois heures par jour sur les réseaux sociaux et un quart des ados disent même dormir avec leur portable.

« Elle risquait d’être exclue »

Concernant les tout-petits, la Fondation suédoise de l’Internet a révélé en 2018 que 26 % des bébés de moins de 1 an « utilisaient » Internet, tout comme 37 % des enfants de 1 à 2 ans, dont la moitié tous les jours. Des chiffres confirmés par l’Agence suédoise des médias, qui constatait en 2023 qu’un tiers des bébés de moins de 1 an ont accès à un téléphone portable et que 20 % y sont exposés quotidiennement ou plusieurs fois par semaine. Par ailleurs, la moitié des 0-4 ans regardent un film plus d’une heure par jour et un tiers sont sur YouTube.

Comme de nombreux parents, Marika Sivertsson, journaliste résidant à Stockholm, semble résignée. Sa fille, Linnea, âgée de 13 ans, a eu sa première tablette à « 3 ou 4 ans ». Elle l’utilisait « plusieurs heures par jour » pour jouer ou regarder des films. Quelques années plus tard, sa mère lui a donné un téléphone à touches, puis un smartphone à 10 ans. « A cet âge, les enfants passent une grosse partie de leur temps sur leurs écrans, et elle risquait d’être exclue », constate Marika, un peu amère : à partir de là, elle a « perdu le contrôle du temps que [sa] fille passait sur un écran ».

Elle a imposé une règle, cependant : à partir de 22 heures, le téléphone de Linnea doit être sur la table de la cuisine et le Wi-Fi est éteint. Mais la « bataille semble perdue d’avance », dit-elle. Les amies de sa fille n’ont aucune limite. Elle-même suit une formation pour devenir enseignante : « J’ai appris que j’aurais de la chance si les élèves avaient eu une nuit de sommeil normale avant de venir en cours. »

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Les mères isolées ne veulent plus seulement «survivre»

@parentalite
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Le 17 mai, le député socialiste #PhilippeBrun, à l’initiative d’une proposition de loi transpartisane destinée à donner un statut aux parents isolés, a rencontré ces familles lors d’un «goûter des parents solo» [...] Les mères présentes réclament que les politiques agissent dans tous les domaines de leur vie.

Par @faizazer › https://www.mediapart.fr/journal/france/220524/les-meres-isolees-ne-veulent-plus-seulement-survivre

#Mediapart #Monoparentalité

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