FilmsFR

J'ai écrit un script JavaScript pour transférer vos listes de films et critiques d'AlloCiné vers Letterboxd en quelques secondes. De base, je l'ai fait pour moi, mais j'ai pensé qu'il pourrait être utile à ceux qui veulent bouger d'AlloCiné vers Letterboxd sans tout remettre manuellement.

L'outil permet de générer un fichier avec vos films vus et leurs notes (sans la critique écrite malheureusement) + un fichier avec les films à voir ("watchlist")

Ça semble fonctionner, mais n'hésitez pas à me contacter si vous avez un(e) question/problème.

Lien : https://github.com/Poudlardo/Allocine2Letterboxd

Octobre commence, saison propice pour regarder des films qui font peur !

Chaque année au mois d'octobre, je me fais un petit marathon thématique pour Halloween. Films de monstres, de sorcières, de possessions démoniaques, de zombies... films sérieux ou nanars, drôles ou effrayants...

Et vous, vous avez prévu de bons films à regarder pour Halloween ? Ou bien vous avez des recommandations de bons films, classiques ou moins connus ?

Le dîner de cons pour ma part, surtout pour la seconde lecture une fois adulte

Si un jour, vous savez pas quoi regarder, y a des trucs intéressants je pense

Petite question à la communauté

[Discussion cinéma] Les pires films de science-fiction selon vous

Après avoir vu passer un classement venant de Reddit où Battlefield Earth venait sans trop de surprise en tête, j'ai trouvé cette liste plutôt décevante.

Et vous, quels sont vos pires films de SF ?

On s'attendait à détester One Piece et à rejeter en bloc une contrefaçon honteuse de l'oeuvre culte, mais bien qu'elle soit limitée et trop fidèle au manga pour son propre bien, cette nouvelle version est faite avec suffisamment de coeur et de passion pour naviguer à mille lieues des Death Note, Dragon Ball Evolution et autres adaptations qui se torchent avec leur matériau d'origine. Et c'est déjà beaucoup.

Old (2021) réalisé par M. Night Shyamalan, avec Gael Garcia Bernal (le Coco de Disney, La Science des rêves), Vicky Krieps (Phantom Thread), Rufus Sewell (Dark City), et des plus jeunes comme Alex Wolff, Thomasin McKenzie et Eliza Scanlen. L'histoire d'un groupe de gens se retrouvant piégés sur une plage où le temps s'écoule beaucoup plus vite que la normale.

Shyamalan introduit rapidement les personnages, pensionnaires d'un hôtel de vacances de luxe, puis les met en situation. Conduits sur une petite plage déserte que leur a conseillée le directeur de l'hôtel, ils découvrent rapidement que quelque chose ne va pas du tout : enfants qui grandissent presque à vue d'œil, blessures qui guérissent presque instantanément...

Tout ça dans un climat de tension et de malaise. L'acting est correct, la réalisation aussi, mais à mon sens l'intérêt du film repose surtout le scénario et les rebondissements. On m'avait parlé de ce film cmome de l'équivalent d'un épisode de Twilight Zone, et c'est vrai que c'est un peu l'impression que j'ai eue. Comme tout bon film de Shyamalan qui se respecte, on a droit au twist final que je ne vais bien sûr pas dévoiler, et j'avoue que pour une fois cette fin n'était pas si mauvaise.

De mon côté, ça varie entre 5 et 10, en général pour des productions originales.

La rétrospective Hayao Miyazaki que l'Institut Lumière a portée au printemps dernier a été un extraordinaire succès, témoignant de la passion du public lyonnais pour le cinéaste japonais. C'est pour cela que Wild Bunch / Goodfellas et le Studio Ghibli ont choisi le festival Lumière et Lyon pour dévoiler au public français en avant-première le nouveau film du maître de l'animation japonaise.

Depuis 1995 et l’excellent Toy Story de John Lasseter, les studios Pixar n’ont cessé de façonner l’imaginaire collectif. Leur catalogue de films d’animation s’enrichit presque chaque année, d’un ou plusieurs films. D’un point de vue narratif et visuel, Pixar s’est fait une spécialité de représenter l’humanité dans toute sa pluralité. Chemin faisant, le studio californien a posé sur les hommes un regard profond, caractérisé par son acuité, et parfois critique. Explorons ensemble comment l’humanité et ses complexités transparaissent dans les films Pixar, en se focalisant sur trois thèmes : la diversité des personnages, la nuance émotionnelle et l’évolution de la société.

Article intéressant, et très chouette site sur le cinéma