France
La France et les Français
Communautés principales
Nous rejoindre sur Matrix: https://matrix.to/#/#jlai.lu:matrix.org
FAQ, guides et ressources :
Actualité internationale
Loisirs:
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
Vie Pratique:
Société:
Villes/Régions
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
- [email protected]
Pays:
Humour:
Fedivers:
Règles
-
Multi-lingual community: posts in other language than French are allowed. 🚀
-
Tous les francophones sont bienvenus. 🐌
-
Remember the human : pas d’insultes, pas d’agressivité, pas de harcèlement entre utilisateurs. 🤖
-
Xénophobie, racisme et autre forme de discrimination sont interdits.🌈
-
Pas de doublon. Pas de spam. Évitez les paywalls autant que possible.☔
-
Utilisez la fonction "Report" pour signaler le contenu contrevenant aux règles.🏴
-
Le contenu doit être en rapport avec la France ou la population française.🇨🇵
Communauté de secours:
view the rest of the comments
Ce qui est délicat une fois qu'on fait rentrer le choix dans l'équation est d'attribuer une logique de responsabilité et a fortiori de mérite derrière.
Par exemple : est-ce que les parents isolés, en extrême-majorité des mères, sur des contrats à temps-partiel les contraignant à côtoyer les seuils de pauvreté sont comparables avec un autre type de population ?
La question de la parentalité est de la logique nataliste de certaines formes de socialisations / éducations n'est-elle pas plus une contrainte qu'un choix (passage de la tutelle paternelle à celle du mari) ?
Prenons ton exemple : le restaurant est un loisir, une pratique bonus de la vie. Avoir un enfant obéit à d'autres logiques, logiques d'ailleurs inégalement réparties à travers différentes couches sociales et genrés (quid de l'avortement dans des familles religieuses, de la notion de respectabilité / decency dans classes populaires) etc, considérant cette différence, peux t'on mettre sur la balance ces deux sujets (resto/gamin) ?
C'est vrai, et justement, en les mettant sur la même balance j'affirme de façon un peu provocatrice mon rejet du natalisme et de l'idée que les gens qui font des enfants ont des motivations autres qu'individualistes. Je ne trouve pas que cela justifie qu'ils redistribuent moins qu'un autre ayant les memes revenus, par exemple.
Avoir un enfant a charge justifie de redistribuer moins. Tout comme avoir une personne agée à charge.
Tu as été un enfant un jour, et un jour tu seras à la retraite. Tu feras comment si plus personne ne fait de gosses pour te la payer ?
Tu imagines ton enfance si tes parents avaient pas eu les allocs et divers avantages ?
Je trouve que c'est ton avis qui est individualiste. Un pays a besoin d'enfants.
Bien sur que le pays a besoin d'enfants, mais a titre individuel ce n'est absolument pas une nécessité. Les gens ne font pas des enfants pour faire plaisir au pays, ils en font parce qu'ils en ont envie. Le pays a aussi besoin de gens qui vont au resto, sinon un pan entier de l'économie s'effondrerait. D'ailleurs je le fais par patriotisme aussi, je devrais etre soutenu par l'Etat. Bref, je crois que ce sujet est trop emotionnel pour etre analysé de façon rationnelle.
Ce n'est pas parce que ce n'est pas une nécessité pour toi que ça ne peut pas en être pour les autres... c'est subjectif ça.
Je parle en tant que quelqu'un qui n'en veut pas (ou en tout cas pas de sitôt).
A partir d'un certain âge ça peut être ultra angoissant pour certaines femmes de ne pas encore en avoir eu alors que la ménopause approche.
Pareil pour les hommes, quand tu passe ta vie à te bâtir un patrimoine et que tu as personne a qui le transmettre, ça peut mettre un énorme coup au moral.
Pour les grand-parents, avoir des petits enfants c'est vieillir entouré et heureux, et pas dans la solitude et l'aigreur. Et le soulagement que sa lignée ne s'arrêtera pas la pour ceux pour qui c'est important.
Je pense que tu n'a pas réfléchi a tout ce que ça pouvait apporter niveau social, familial et économique.
C'est tout à fait ton (notre) droit de ne pas en vouloir. Mais ne te crois pas immunisé contre la sensation de vide qui apparaitra indubitablement quand tout ton cercle social en aura et se sera réduit, sans parler de la pression du/de la conjointe.
La comparaison avec le restau est risible.
Ou se la capote était trouee, ou que l'éducation a fait que...les raisons sont multiple et pas toujours volontaires.
Non, ça serait un pan (non indispensable) de l'économie réalloué ailleurs.
Outre le début de la phrase bien cringe, c'est déjà la cas via une TVA réduite.